Dans Les Caves D’Une Cité De Banlieue.

Ce samedi dans la soirée, je suis allé chez Arsène à sa demande. Il voulait essayer à nouveau l’effet des pilules de Robert.
- Je suis comme un fou depuis cette soirée où ton pote médecin a baisé Chantal. Elle ne se souvient vraiment de rien et je l’ai retrouvée toujours aussi froide et bloquée comme toujours. Je veux recommencer et cette fois aller encore plus loin. Tu peux m’aider ?
- Bien sûr. J’ai demandé à Robert s’il y avait un danger quelconque pour sa santé, il m’a confirmé que ces pilules sont neutres quand leur effet se dissipe. Par contre quand la personne est sous ses effets, elle est vraiment sans défense et on peut r d’elle sans craindre qu’elle se rebiffe ni qu’elle se rende compte. Dans ces moments il faut qu’on soit deux pour contrôler la situation.
J’avoue qu’en disant cela, je veux garder les initiatives et profiter de Chantal ce que Arsène conçoit sans peine.
- Arsène, j’aimerai bien que tu t’amuses avec elle pendant que je regarderais.
Cette proposition me touche ; pourtant, je suis amoureux de sa femme et moi aussi, pervers, j’ai envie de la livrer à des inconnus et lui faire subir les sévices sexuels les plus fous. La baiser, la violer plutôt, ne me branche pas vraiment. Aussi je lui fais la proposition suivante.
- Ecoute Arsène. Je connais dans une cité de banlieue une bande de jeunes dont je sais qu’ils pratiquent des tournantes. On va emmener Chantal et leur livrer. On restera pour assurer sa sécurité.
- OK cette idée est bandante. Chantal doit rentrer bientôt, on lui fait avaler la pilule, on l’habille sexy et on y va. Que penses-tu de l’habiller simplement d’une simple cape noire que j’ai reçu de mes parents et qui descend jusqu’au pieds. Je l’ai faite porter par Chantal un jour mais tout de suite elle m’a traité d’obsédé et de cinglé.
J’appelle mon pote Gérard qui habite dans cette cité et rendez-vous est pris pour ce soir même.
C’est le moment que choisit Chantal pour entrer dans la pièce.


- Qu’est-ce que vous manigancez tous les deux ? On dirait deux gamins pris les mains dans le pot de confiture.
- Rien ma chérie, simplement on t’attendait pour prendre un apéro.
C’est dans le café à la fin du repas que j’ai glissé la pilule et bien sûr quelques minutes après, Chantal avait retrouvé la même expression du regard que l’autre soir. Absente.
- On va t’habiller comme une salope, une pute et on va te faire baiser par des voyous, dit Arsène en s’adressant à sa femme. Je vais les voir te couvrir de sperme, te défoncer le cul et la chatte. Aucune réaction de Chantal.
On la déshabille, on lui chausse des petits escarpins à talons, des bas noirs qui tiennent seuls. Elle a des jambes superbes. Les poils de sa chatte coupés courts ne cachent en rien les grandes lèvres, entrée de son ventre. Je mets à bander en regardant ses seins fermes arrondis aux mamelons caramel, bien dessinés, avec en leur milieu des pointes qui ne demandent qu’à être sucées. On lui passe sur les épaules la longue cape noire tenue au cou par une fine cordelette.
On la glisse dans la voiture, à l’arrière, toujours docile et obéissante. Cette fois pourtant son visage affiche un sourire un peu niais mais si beau !
Arsène a ouvert la longue cape découvrant ses jambes et le sexe de sa femme. A chaque arrêt, on peut à loisir contempler ses formes. Soudain, on voit Chantal qui détache le fin cordon qui tient fermée la cape autour de son cou. Le vêtement s’ouvre de lui même. Elle est nue maintenant sur la banquette arrière de l’auto et déjà plusieurs voyeurs dans des voitures ont pu profiter du spectacle. Arsène exulte, il réalise là son plus grand fantasme
On arrive dans la cité. On la rhabille et nous voilà marchant dans les rues encore chaudes. Il est presque 22 heures. En marchant à côté de sa femme Arsène n’arrête pas de la regarder. A chaque pas, la cape s’ouvre découvrant les jambes jusqu’au haut des cuisses fines. Parfois même, la cape s’ouvre un peu plus découvrant le triangle noir de son pubis.
Chantal marche d’une manière automatique, le regard fixé devant elle. Aucun sentiment ne transparaît. Esclave soumise elle se laisse conduire, même si elle a l’air de participer un peu plus.
On arrive à l’endroit où on a donné rendez à vous à mon copain Gérard qui habite la cité. Il a pris sa caméra car il a l’intention de filmer ce qui va se passer.
Dès qu’il la voit Gérard film la belle dans sa cape. Très vite il comprend qu’elle est sous influence, soumise.
On part dans les rues de la cité.
Très vite, on croise un groupe de jeunes du quartier que Gérard connaît un peu, qui nous demande de les suivre dans une cave pour la mater tranquille.
On s’interroge et c’est Gérard qui donne le feu vert : il veut filmer.
Un des jeunes s’approche d’elle par-derrière relève la cape :
- Elle a le cul nu les gars, dit-il en criant.
Il se met à la caresser et Chantal, absente, se laisse faire devant les copains qui rigolent. Elle accepte bien sûr de les suivre en souriant toujours béatement.
On passe dans des ruelles désertes pour arriver dans un grand ensemble d’immeubles. Sur le chemin personne n’ose parler, on attend de se retrouver au calme.
On se dirige vers une entrée recouverte de tags. On abandonne l’auto pour suivre le petit groupe. Gérard film toujours. Chantal est entourée comme pour l’empêcher de s’enfuir. Toute droite cependant elle se laisse conduire. Elle est vraiment e. Sur la pente douce de notre débauche.
Les 5 zonards sont jeunes. Moins de 20 ans et deux d’entre eux même autour de 18 ans. Un noir est le plus grand. Très grand. C’est lui qui guide. On entre dans immeuble avec un hall plein de graffitis au mur. La zone !
On descend un escalier crade aux murs pleins de dessins et inscriptions obscènes et encombré de mille objets divers. Puis un long couloir mal éclairé. On a l’impression de descendre en enfer. C’est peut-être l’enfer. On balise un peu mais le train est parti, pas moyen de reculer.
Tout le long du couloir, les portes des caves sont touts éventrées, dégueulant divers matériels et matériaux.
On arrive enfin devant une porte encore debout. Le grand noir la pousse. On pénètre dans une grande cave assez bien éclairée avec une table en son milieu recouverte de cadavres de canettes de bière et de mégots. Sur un côté, contre un mur, un vieux matelas crade n’a rien d’avenant. Une forte odeur de d’alcool et de tabac froid ajoute à la poésie du lieu.
Les jeunes entrent en premier, ils sont chez eux. On imagine tout ce qui a dû se passer dans cet endroit où on ne risque pas de venir les déranger. On a vite compris qu’on peut toujours appeler au secours…
- Voilà dit le grand noir. On va être tranquilles pour mater la belle dame. Surtout qu’elle
a l’air plutôt bien roulée et gonflée de se balader à poil sous un simple manteau !
Il prend Chantal par la main et la mène au milieu de la pièce contre la table. D’un revers du bras il la débarrasse de ses immondices. Ses quatre complices s’approchent pour ne rien manquer. Chantal s’appuie contre la table passive et semble résignée.
Le noir s’approche et ouvre la cape. Ils se mettent tous à siffler. Tout cela est encore bon . Ces mecs m’apparaissent irrespectueux et en même sympas. Pas dangereux du tout. Il lui prend ensuite la tête à deux mains et l’attire à lui pour l’embrasser sur la bouche. Chantal est d’abord surprise devant la brutalité du geste mais très vite elle lui rend son baiser. Puis il défait alors le lacet au niveau du cou et enlève entièrement le vêtement qu’il fait voler sur le matelas. Cette fois elle est entièrement nue en bas, jarretelles et chaussures. Les gars s’éloignent un peu pour voir globalement. Ils sont vraiment là pour mater.
Une voix lui demande de se retourner pour voir le cul. Comme une automate, elle s’exécute. Autres sifflements.
Alors soudain, c’est l’émeute ils s‘approchent tous et commencent à la peloter. Elle est prise aux seins, aux cuisses, au sexe, au ventre, à la bouche.
Elle disparaît presque recouverte de mains avides. Elle se laisse faire, se cabre sur certaines intrusions mais accepte ce viol collectif. Gérard film toujours. Les mains la parcourent sans cesse. Elles la soulèvent même par moment. Les mômes prennent leur pied. Nous on regarde, Alain a sorti sa bite et se branle dans un coin de la pièce.
Soudain Chantal se cabre car un doigt après avoir glissé le long de la raie du cul a du s’introduire dans son fondement. Elle est étroite en cet endroit car elle m’a toujours refusé ce chemin ! Mais voilà, maintenant elle se laisse branler le cul ! Quelle débauche ! Et elle a l’air d’aimer cela. On lui tire la tête en arrière pour s’emparer de sa bouche, l’embrasser dans le cou, les aisselles, les seins... c’est celui qui la besogne au cul qui lui roule maintenant une pelle du diable !
Soudain, Chantal est soulevée et déposée sur la table. On la couche sur le dos, les jambes dans le vide, écartelée, le ventre projeté vers le haut elle offre son intimité aux regards, sans défense. Le plus jeune des mômes la prend par les cuisses et lui lève les jambes pour lui ouvrir le sexe. Puis s’accroupissant sur elle il s’empare de sa chatte, y colle ses lèvres comme une ventouse et commence à lui lécher le sexe. Chantal impassible se laisse faire. Pourtant on croit apercevoir sur son visage des signes de plaisir et moi j’entends sa respiration qui devient plus forte. Ressentirait-elle quelque chose ? Ce n’est que mieux et Arsène qui a vu aussi s’excite un peu plus.
Les autres se placent autour et continuent de la peloter en regardant leur pote faire minette. On va assister à une tournante. Un autre se met à lui sucer un sein alors qu’un second s’occupe de celui de l’autre de son côté. Le grand noir s’est placé près de sa tête est s’est emparé de la bouche. Il l’embrasse bouche grande ouverte et Chantal lui rend son baiser. Sa participation devient de plus en plus évidente. Le dernier s’est placé derrière celui qui tête le sexe. Il lui malaxe les fesses à pleines mains qu’il a glissées sous elle.
Le tableau est super hard. Les odeurs sécrétions de toutes ces bites sorties et de la chatte de Chantal embaument la pièce d’une forte odeur de sexe et de cul.
Le grand noir pousse le jeune qui lèche le sexe pour prendre sa place. Les lèvres de la vulve sont toutes brillantes de mouille et de salive. Le noir sort une grosse langue et se met à lécher le sexe et les poils du pubis. De ses doigts il écarte les poils pour dénuder les lèvres qu’il lèche l’une après l’autre pour les mordiller doucement. Maintenant, Chantal se contorsionne sur la table. Visiblement elle donne des signes de plaisirs mais reste cependant toujours docile et soumise. Elle avance même son sexe en cambrant son bassin vers la bouche qui la suce.
Gérard le fait se placer de manière à bien saisir le détail du geste. Chantal se contorsionne de plus en plus et prend du plaisir, c’est sûr. Jusqu’où ira-t-elle dans cette cave à l’atmosphère glauque ? A mon tour j’ai sorti ma bite et je me branle doucement de peur d’éjaculer trop vite.
Le noir avec son énorme langue lape carrément les sécrétions de Chantal tant elle mouille.
Sucer le con de cette femelle lui donne apparemment beaucoup de plaisir. De ses doigts il ouvre le sexe pour laisser apparaître à la lumière l’intimité rouge sang de l’intérieur de la vulve. Les autres matent !
- Putain de gonzesse les mecs elle a un con qui sent la cramouille ! dit-il les lèvres et les joues luisantes des sécrétions de chantal.
Un d’entre eux s’est approché pour mieux voir. Juste en dessous de sa langue, le noir introduit un doigt, son majeur dans le vagin et se met à le branler en rythme. Le petit jeune derrière a sorti sa queue et se branle. Un autre pelote les seins et embrasse Chantal sur la bouche. Le dernier, le plus jeune, frotte sa bite contre les seins, sur les lèvres qu’il a devant lui. Il dessine des traces de mouille sur la peau blanche avant de s’introduire entre les lèvres qui s’ouvrent pour recevoir sa petite bite. On entre dans un bang gang.
Chantal allongée sur cette table se contorsionne dans tous les sens sous les caresses de ses amants. Elle prend son pied cette chienne après toutes les simagrées qu’elle nous a faites. Je l’aime encore plus. Est-elle consciente ? On a de plus en plus l’impression qu’elle est devenue actrice de la soirée. Et si la pilule ne faisait plus d’effet ?
Soudain, le noir se relève, sort rapidement sa bite ! Elle est énorme et longue et pointe vers le ciel : elle semble en bois !
Il va baiser. Il ne se pose même pas la question si Chantal est d’accord, il va baiser. Il est vrai qu’elle a bien senti qu’il se préparait à la sauter et elle n’a manifesté aucune réaction.
Il prend les deux jambes aux chevilles et écartèle la femelle. Il les pose sur ses épaules pour libérer ses mains. Il prend Chantal sous les deux fesses et la soulève pour emmener sa queue au niveau de son con et sans attendre il s’enfonce en elle jusqu’à la garde tout en ouvrant les lèvres pour montrer aux autres comme il baise cette belle bourgeoise. Sous l’impact Chantal se raidit et grimace dans un premier temps. Elle n’a pas l’habitude d’une aussi grosse bite en elle. Mais très vite elle se ressaisit et se met à haleter au rythme des coups de queue de son amant. A chaque fois que la bite ressort, elle luit de la mouille du sexe féminin. Une vraie fontaine cette petite femme. Arsène écarquille les yeux : il n’a certainement jamais vu sa tendre épouse comme cela. Des traces blanches de cyprine s’étalent le long de la colonne de chair noire. Je ne pensais pas qu’elle pouvait être aussi perverse. A chaque coup, le noir pousse sa bite bien au fond du vagin pour le posséder entièrement, frappant ses couilles contre ses fesses. Et Chantal se cabre à chaque fois pour faciliter son introduction. Ils baisent tous les deux et visiblement il n’y a plus personne autour. Nous tous, on regarde le pieu au bout rouge violet écarteler la femelle. Un des plus jeunes s’avance et se met à caresser le ventre comme pour sentir la bite pénétrer. Chantal se cambre pour accélérer le rythme. Le noir est essoufflé mais il accélère son rythme. Il a envie d’être bon. Ses grosses narines se dilatent. Il va jouir et Chantal pousse des petits cris qui font penser qu’elle va jouir à son tour. C’est maintenant sûr, elle est consciente de ce qui lui arrive. Alors son amant ralenti comme pour repousser le moment suprême. Mais visiblement il n’en peut plus et très vite il reprend son va et vient pour d’un seul coup se contracter et crier alors qu’il déverse sa semence dans le ventre de Chantal. Gérard saisit ce moment et filme le visage de Chantal qui grimace pour exprimer sa jouissance.
Repus il se retire, le sexe plein de sperme. Aussitôt le plus près se précipite et il présente sa bite devant la fente encore ouverte et dégoulinante de mucosités. Il s’enfonce sans attendre. Chantal est surprise par la promptitude de ce nouvel assaut mais elle ne bronche pas et subit à nouveau les coups de boutoirs de son violeur. Ses va et vient sont d’emblée rapides et très vite il éjacule à son tour. Chantal n’a pas l’air de s’en apercevoir encore tout aux coups de bite du noir qui ont du lui faire plus forte impression. Maintenant elle subit, elle n’est plus qu’un ventre soumis aux assauts de mâles à la seule recherche de leur plaisir. Elle joue le jeu et même cela à l’air de ne pas lui déplaire. La débauche.
Quand le troisième se présente entre ses jambes, il commence par essuyer le sperme dégoulinant du sexe et qui s’écoule d’entre les cuisses. Il lui caresse les lèvres, passe entre les fesses, les soulève glisse un doigt chargé de foutre vers l’anus et le fait pénétrer. Il recommence plusieurs fois ce geste pour enduire de foutre la petite rondelle foncée comme pour lui baiser le cul avec le sperme de ses copains. Chantal sursaute à chaque introduction, mais laisse faire. Elle pousse des petits cris de plaisir à chaque fois. Le petit vicieux insiste. Bientôt le petit trou est dilaté et brille du sperme en son intérieur. Il aime branler le cul des filles. Avec le pouce de l’autre main il branle en même temps le clitoris juste au dessus. Chantal abandonne la bite qui est dans sa bouche pour pousser des petits cris sous l’effet des mains du gamin. Lui, il a envie de la faire jouir. Abandonnant ses branlettes, il la soulève et écarte les fesses pour exposer l’anus et présente sa bite. Elle est beaucoup plus petite que celle des autres c’est ce qui explique peut-être qu’il veuille la mettre dans le cul : il veut enculer Chantal. Mais cette fois elle semble refuser ; elle est trop étroite. Mais le petit ne renonce pas et enfonce sa bite dans le cul écartelé et commence à limer cet orifice. Chantal râle car elle a mal. Alors le petit sort sa bite l’enduit de mouille qu’il va toujours chercher dans le vagin pour la faire à nouveau pénétrer dans le petit trou. Cette fois tout se passe bien et Chantal accepte ce nouveau "viol" qu’elle considère un peu comme un dépucelage. Elle vient de céder sa rondelle ! Le petit lime comme une bête et bien vite il remplit le cul de son sperme.
Les deux derniers regardent et s’astiquent la queue en attendant leur tour. Ils caressent un sein, les lèvres, une fesse pour se tenir prêts quand leur tour va venir. Apparemment ils ont l’habitude de baiser en groupe. Mais pas une telle femelle.
Le baiseur se déverse aussitôt en râlant. Et Chantal le regarde jouir avec une sorte de complaisance maternelle ! La salope ! Elle est bien présente maintenant et Arsène choisit ce moment pour éjaculer une quantité incroyable de sperme qui vient s’étaler sur le sol dégueulasse de la cave. A peine fini, il rebande à nouveau !
Quand le suivant prend sa place entre les cuisses Chantal n’a même pas un regard pour lui. Elle se laisse faire. Il la pénètre sans attendre et la lime sans douceur. Il se vide en elle presque instantanément ajoutant son sperme aux autres. Chantal est maintenant toute souillée de sperme. Ses bas noirs sont tachés et le sperme continue de s’écouler. Quatre éjaculations en moins de 10 minutes ! C’est cela une tournante ?
Le dernier, qui s’est fait sucer au début, est tout jeune et timide. Il n’ose pas s’approcher. Il caresse d’abord le sexe et se place entre les cuisses sans vraiment prendre d’initiative. Alors c’est Chantal qui l’encourage par un sourire. Dégrisé, le môme prend sa bite et l’enfonce bien au fond du ventre chaud. Il se met à limer d’abord lentement pour bien goûter au plaisir de ce ventre. Puis il accélère lentement. Il porte ses mains aux seins devant lui et il les pelote sans ménagement. Soudain il croise le regard de cette bourgeoise au bout de sa queue et accélère son rythme pour éjaculer. Il sort rapidement du con pour se déverser sur le ventre devant lui et pouvoir voir sa semence souiller la femelle. Puis il se remet dans le ventre pour y déposer les dernières éjaculations. Avant de sortir, il étale son sperme sur le ventre blanc.
Repus il se retire avec un sourire. Chantal lui rend son sourire. Elle a l’air crevée. Les gars se rhabillent tous.
Le noir s’approche d’elle :
- T’es une bonne salope ma belle. Tu as un con avec un goût super. On t’a vraiment bourrée le cul et le con. Tu n’es pas prête d’oublier cette soirée. Tu reviens quand tu veux. Et s’adressant à Arsène :
- Ta bonne femme est bonne mon pote. Tu ne dois pas la garder que pour toi. Quand tu veux j’ai une armée de mecs prêts à te la dévergonder, la souiller, l’enculer, la baiser.
Revenant vers elle, il ramasse avec ses doigts le sperme mélangé qui s’écoule le long de ses cuisses et le porte aux lèvres de Chantal qui sans attendre se met à les lécher avidement. Il recommence plusieurs fois ce geste et Chantal boit maintenant le sperme de ses amants.
Avec un large sourire, ils quittent tous la pièce baignée par cette forte odeur de sexe et de cul.
Chantal se lève seule, on lui remet sa cape et nous prenons le chemin du retour.
Apparemment elle semble encore absente malgré les signes de plaisir et de collaboration qu’elle a montré. Simule-t-elle ?
Rendu chez eux, Arsène la mène directement dans sa salle de bain. On la baigne et on l’emmène au lit dans lequel elle s’endort avec un petit sourire innocent sur les lèvres.
Le lendemain Arsène me dit qu’elle n’a pas du tout fait allusion à la soirée, comme si la cave n’avait pas existé. Pourtant…
Chantal existe bien et on peut la voir sur demande.

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